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Education aux Médias : Stage national de Strasbourg
12 mai 2008

Le stage deux jours après...

Retour sur le stage par Cécile ENJALBAL.

Tout d’abord, merci d’être indulgent vis-à-vis de l’orthographe, fautes de frappe ou tournures scabreuses.

J’ai l’impression d’être venue à ce stage comme une intruse ou un cheveu sur la soupe. J’en suis sortie avec une incroyable volonté de continuer.

Il est vrai que j’ai un parcours un peu sinueux à la manière d’un bonzaï. Pourtant du côté de l’animation, j’ai eu droit au BAFA III vidéo et à un BEATEP action culturelle cinématographique vers les enfants et les jeunes. Du côté de l’audiovisuel et du théâtre : de 12 à 21 ans théâtre, Arts du Spectacle, Beaux-Arts, Conservatoire de théâtre, Iad (Institut des Arts de Diffusion) en réalisation, puis assistante réa, régisseuse, monteuse, réalisatrice, cadreuse. Entre directrice de séjours (vidéo) de personnes adultes à déficience mentale et les parcours à l’image : pré-cinéma (flip book, proscenium, folioscope, phénakitiscope et thaumatrope avec une initiation sur les débuts du cinéma), analyse de l’Image (JT, fiction), réalisation reportage, fiction, animation en direction d’un public mixte de 3 ans à 70 ans.
Que me reste-t-il de tout cela, comme arme pour définir un nouveau champ d’action ?
Les blogs, dites-vous, est-ce encore une forme de jeunisme ?
Non, nous nous posons très sérieusement la question. Quel blog, à quel escient, par qui, pourquoi et comment ? Pour ne faire qu’une petite énumération : blogs à confidence, blogs semi-pro (car un blog ne restera que non professionnel), blogs anti-blog…( La preuve, le mien a été saboté dès 3 min de mise en ligne par mes propres soins), blogs contrôlés, blogs d’appel « Ose ce court », blogs d’appartenance, blogs d’échanges, blogs individuels ou collectifs, blogs liés à un événement ou blogger sur la durée ? Ne risquerait-on pas de bugger sur nos ordinateurs ? Blog sans frontière, blog anonyme, … Eh oui, nous sommes fichés… Dans tous les cas, ce terme ne désigne qu’un outil, support à la vie humaine. Et voilà le plus important à mes yeux : la rencontre, le partage, l’agir ensemble. Vision qui semblait être partagée.

Je vais débattre selon plusieurs thématiques, d’une part, le stage, d’autre part, la position en tant qu’éducacteur, proposition d’action future et enfin sur le congrès (les deux derniers axes seront traités dans un prochain message).

Concernant le stage :

J’ai trouvé dommage que nous n’ayons pas pris du temps pour bouger : gym, danse ou atelier libre : écriture «lâchage de pensées», ou un système de présentation pour savoir comment nous en sommes arrivés là (Cf. Notice de parcours d’accompagnement de la personne au développement de son activité liée à sa motivation) par groupe de 2 puis retransmis par celui qui a écouté l’autre raconté et vice versa pendant  ½ journée. Cela permet de vraiment connaître les enjeux des rencontres dès le départ du stage et de mieux cerner les préoccupations.
Si le rythme a permis un véritable temps d’approfondissement, je me suis posée la question par moment s’il n’était pas symbole de stress. 8h30/23h, il est clair que cela témoigne d’une grande motivation mais est-elle bien orientée ? La satisfaction, le bien-être ou la joie de vivre n’est pas nécessairement dans la fantaisie mais aussi dans le labeur. En tous les cas, voilà ce que j’ai ressenti durant le stage. Une espèce de douce sérénité à persévérer, à affronter, à donner un sens. Cependant si solennelle, que cela en devenait très désarmant… Et j’ai eu le sentiment, que des personnes essayaient plus de nous apprendre que nous avons pu leur apprendre. Ceux-là s’appellent des formateurs ! Un débat monologique à perdre haleine, toujours la même rengaine…En même temps, nous n’étions pas dupe. Ce stage était organisé par les CEMEA, pros de la «bavardise» mais, il faut aussi le reconnaître, de l’agir par la pensée et par l’acte.

Nous avons donc tâté le terrain virtuel pour ceux qui, pendant trois demi-journées se sont attelés à la tâche (un petit jeu de mot s’impose : à l’attache ou comment les blogs ou d’autres plate-formes collectives peuvent être vecteur de lien, se l’approprier de manière à ce que l’on vit ait une résonance vers l’extérieur  et ce que l’extérieur peut éveiller en chacun de nous). Pour ma part, je reste sceptique : OK pour la gratuité de ces formes, quoique je me demande par qui elles ont été mises place mais elles soulèvent quelques problématiques éthiques :
- démocratisation de l’accès à Internet : dans certaines régions, il a été notifié que 2/3 d’un groupe de stagiaire BAFA avait un blog et passait par MSN tandis que le tiers restant, ceux qui n’avaient pas Internet ne pratiquaient ni l’une, ni l’autre forme de communication. Même si Internet est à la base une utopie démocratique comme le fut la télévision à un moment donné, l’effet boomerang ou papillon n’est pas loin, notamment,
- l’accès à des mineurs à des propos violents ou images X, à de la fausse information, à la facilité de la recherche sans passer par le livre ou la presse, à rester dans un univers confiné.
- problème de santé dû aux ondes liées au système de téléphonie portable, électrique et via WiFI. Sans compter le manque d’activité physique voir relationnel qu’engendre que pourrait engendrer ce type d’activité.

Voilà pourquoi, l’accent a été mis sur la transmission de connaissances législatives et sur l’aspect collectif. J’ajouterai l’apprentissage du mode journalistique : prise de notes pour se remémorer les informations au moment de la rédaction avant la mise en ligne, croisement des sources, sensibilisation à indiquer la provenance de notre référence si nous citons un autre blogueur. Car Internet n’a pas fini de poser le problème de la propriété intellectuelle. Vidéos, photos et textes sont réempruntables, déformables. Il est vrai que du temps de Molière et Racine, la question n’était pas soulevée. Cependant avec l’arrivée de Beaumarchais…
Se pose donc la question éthique d’encourager les jeunes à déposer des images où ils sont représentés. Cela touche la protection de l’enfant. Il est donc incontournable de les en informer et de les faire réfléchir à quelles images sur ce sujet là pour contourner le risque de détournement : texte apposé sur les images et si le projet de blog est dans le cadre d’un « Journal de Colo » ou une manière de présenter des activités annexes, alors faire des images plus générales et favoriser l’écriture journalistique et expressive.

Pendant ce temps, l’autre groupe a travaillé sur le dispositif «Ecrans-Mômes» cf. Pdf sur le site des CEMEA.

Au sujet de la position de l’éducacteur :

Nous devrions être proches des sentiments des enfants et du vécu. Je pense que cette réflexion s’ancre dans la démarche des CEMEA d’intégrer l’activité blog par exemple. Et La recherche autour des radios Skyrock notamment par l’équipe de Rhônes Alpes est très intéressante sur le thème de la sexualité.
Pour ma part, j’ai écrit deux scénarios : l’un sur les amours enfantins à 5 ans, l’autre sur les prémisses des relations sexuelles d’enfants de 5ème qui pourraient servir de support à de telle réflexion mais aussi de support à la discussion avec des jeunes.
Quels sont les  besoins des jeunes à l’heure actuelle ?

J’ai pu me rendre compte sur le terrain qu’il y a un manque réel de cohérence entre nos actes et « la plus haute aspiration de l’homme » définie par la Déclaration des Droits de l’Homme. Ce qui perturbe indéniablement le comportement de certains enfants.
Comment rester crédible en tant qu’adulte, quand les enfants voient, entendent la dramatisation de l’avenir par les médias et même les documentaires en salle, voir les mangas et certains films de fiction ; eux ont aussi accès à des débats sérieux de scientifiques sur le réchauffement climatique, la gestion des banques alimentaires à l’échelle mondiale, l’agrandissement de la fracture sociale, la disparition de communauté minoritaire. Ils ont déjà pas mal de problématiques à intégrer : inquiétude des parents pour l’avenir de leurs enfants quand ceux-ci sont présents, question identitaire et d’intégration quand issus de l’immigration, problèmes d’alcoolisme, de chômage, rapports de forces entre eux.

Je crois que l’on vise la plus grande hypocrisie que le staff adulte peut faire ressentir. Pour contrecarrer cela, j’essaie d’intégrer des notions philosophiques en direction des enfants sur le temps d’atelier et de réflexion sur la prise de position :
- est-ce que l’on baisse les bras devant la difficulté ?
- prise d’autonomie évidemment,
- tant d’expression de chacun
- création collective
- résolution des conflits dans le groupe par la discussion
- trouver les limites d’un comportement appréciable en collectivité (nous avons tellement pris l’habitude d’avoir tout, tout de suite).
En ce moment, je me heurte à des tempéraments capricieux, égoïstes et violents quand l’autre n’est pas d’accord ou quand l’autre ose s’exprimer. «On s’en fout de ce que tu dis !»,  «Vas-y, tais-toi !». Il avait juste dit : «Oh, regardez les meurtrières» en désignant un ancien rempart. Puis il l’avait répété, répété, répété en opposition aux injonctions de ses camarades de classe.
Je suis en contact par ailleurs avec des art-thérapeutes qui m’expliquaient le fonctionnement du cerveau sous l’effet de stress. Et l’école est stressante, et nos rythmes de vie aussi. Pour apprendre, il faut un cadre dépressurisé. Sinon il y a une espèce de refus en bloc de toutes connaissances que nous pouvons acquérir. C’est pourquoi, le travail en plus petits groupes est nécessaire mais pas toujours possibles à un niveau structurel et financier. Je pense que c’est ce sur quoi, le dispositif «Ecrans-Mômes» travaille par la rotation des enfants sur trois ou quatre ateliers différents et cela de manière ludique. S’appuyer sur des extraits de films comiques des débuts du cinéma est un exemple mais il n’y a pas que cela.

Ce stage m’a aussi fait poser la question de la sensibilisation des publics aux documentaires, aux films incontournables de la culture mondiale.
Mérieux questionnait : «Pourquoi n’apprenons-nous pas aux enfants à lire sur l’Odyssée d’Ulysse mais sur des textes tels que  Juliettte a une balle…» (cf. conférence dans le cadre de ma formation BEATEP action culturelle cinématographique par le biais de l’UFFEJ 2004/2005). Pourquoi, ne pas appréhender l’apprentissage de la lecture d’image avec des films à la lecture pas toujours évidente.
Je suis restée encore ébahie sur l’attitude d’une classe de CP devant la projection du film «La Petite vendeuse de Soleil» de Djibtil Diop Manbety ! Nous leur soufflions de temps en temps les sous-titres, ils nous posaient des questions en direct. Eh oui, nous parlions pendant la projection, mais nous les accompagnions de près dans leur découverte. Ils en ont beaucoup parlé entre eux, avec nous, sur le retour dans le tram. La mission était remplie.

Pour vous donner à voir de « bons » films, je vous invite à vous rapprocher des festivals liés à l’enfance : Image par Image en Val d’Oise, Forum des Images «  Enfants au cinéma », Cinémathèque Française, le site du CNC pour voir les programmation « Ecole, Collège, Lycée et Cinéma », Le Festival d’Aubervilliers «Pour éveiller les regards», le Festival d’Evreux, Festival «Regards Jeunes vers la Cité» (Paris), Festival des buttes Chaumont, programmation Jeunes du Festival de courts-métrages de Clermont-Ferrand, Festival Cinémômes d’Obernai, programmation de salles de cinéma en direction de la Jeunesse par exemple celui des cinémas indépendants parisiens édités trimestriellement par la Mairie de Paris… Je vous renvoie aussi à la revue « O de conduite » éditée par l’UFFEJ (Union du Film pour l’Enfance et la Jeunesse), au dispositif Passeurs d’Image .

Cependant, si nous choisissons des films qu’ils reverront via l’école, est-ce que nous n’allons pas lasser les publics jeunes ?
Voilà pourquoi il est important de se renseigner sur leur parcours image avant d’entamer un atelier. Pourquoi ne pas créer un carnet culturel comme existe « le carnet de santé » pour suivre sur la durée, les activités majeures, films, sorties théâtrales, à d’expositions et autres qui seraient accessibles tant à leurs parents, aux professeurs et aux animateurs/éducateurs/intervenants ? 

Les jeunes apprennent aussi entre eux, et de favoriser l’échange voir l’intégration de leurs connaissances en vue de les approfondir me semble incontournables. Je pense aussi qu’il est favorable de donner à voir des films à des enfants fait par des enfants. Et que ce pourrait être un des axes de travail sur le positionnement des CEMEA sur la programmation des télévisions publiques. Il faudrait recenser déjà les films existants et en vérifier les droits de diffusion, se rapprocher éventuellement des télévisions locales et des Service d’Animation Jeunes et des comités de délégation d’élèves pour récolter des informations sur les directions et leurs revendications. Ainsi, des vidéos partagées sur Internet par des jeunes peuvent être intéressantes comme point de départ (YouTube, Dailymotion).

Souvent, on voit l’activité audiovisuelle comme amusante en lien avec l’imaginaire et si nous demandons une contribution aux enfants sur le scénario, ils nous renvoient assez vite à des scénarios de téléfilms : le super héros, la fille kidnappée, le gendarme et le voleur, l’enquête policière, bien sûr il y a matière à transmission : comment filmer une course poursuite, film de genre : le film noir, mais qu’en est-il du sens réel, il n’y a pas encore appropriation mais copier/coller par rapport aux images déjà vues ainsi qu’au discours. J’ai vu récemment au Festival «Petites Vues» qui s’est déroulé à Strasbourg du 14 au 18 novembre 2007 dont le thème abordé essentiellement les droits de l’enfant, un film d’animation hallucinant :
Leila_TB_100x0Leila
Belgique/ Burkina, 2007, Durée 5min
Sous la direction de Louise-Marie Colon et Caméra & Consorts/ Caméra enfants admis 




Non au travail des enfants!  Un conte imaginé par des enfants lors du FESPACO 2007 à Ouagadougou.
Site Caméra Enfants Admis
J’hallucinais, et ce n’est pas très professionnel de dire ça mais plutôt passionnel car, enfin ces films portaient des revendications d’enfants, sur leurs problématiques.
Et cela m’a remis en mémoire la promesse que je me suis faite de retourner un jour à Madagascar pour soutenir un projet autour de l’audiovisuel dans certains quartiers de Antananarivo et de province. J’avais 18 ans quand j’y suis allée avec mon oncle malgache et ses enfants à qui il voulait faire partager, alors qu’ils avaient au moins en moyenne la trentaine sont pays d’origine. En sortant de l’un des hôtels où l’on dormait, j’ai croisé une jeune fille du même âge qui ne sortait pas pour les mêmes raisons.
Je vous laisse deviner la suite, prostitution oblige ; même si récemment, je suis tombée sur des vidéos m’informant du mouvement mondial des métiers du sexe et des revendications de reconnaissance qui en découle. Après tout, si elles/ils le choisissent, cela fait partie de leurs droits. Mais là, elle ne l’avaient pas choisi.
En plus, nous voyons plein de documentaires d’un point de vue occidental, et beaucoup de peuples notamment autochtones ont dû «rehistoriser» leur histoire car bafouée, méconnue et erronée.

Voilà pourquoi, j’aimerais mener des actions de formation à l’étranger, hors Europe. Car la vidéo, ce n’est pas qu’un jeu, c’est aussi une arme et que ce sont des outils extrêmement polluants en terme de matériel (d’ailleurs, j’aimerai bien faire un sujet là-dessus) mais aussi de pollution intellectuelle : surmédiatisation ou omission, désinformation…
A terme, nous devrons aussi prendre position sur la nécessité de ces instruments et les restreindre non pas à un usage contrôlé, mais à une sagesse naturelle de l’instinct de survie de l’homme à ne pas démolir son environnement grâce à une manipulation parcimonieuse. Biensûr, je me suis posé la question : ces peuples (les Shipibos-Conibos pour ne citer qu’eux puisque j’ai pu véritablement échanger avec eux), sont-ils favorables à ces pratiques ? Je ne penserai pas à leur place mais leur relation inaliénable à la terre est telle que j’espère qu’ils en feront un outil et non un but en Soi (cf. showbiz et starisation). Là-bas, en Amazonie péruvienne, ils avaient accès à Internet 4h le matin à condition qu’il y ait assez d’essence pour le groupe électrogène (je vous laisse imaginer les conséquences de l’augmentation du coût du pétrole) alors qu’ils n’ont accès à l’eau courante que deux heures par jour ! Ils ont crée aussi, avec le soutien des associations nationales, et ONG, un cinéma itinérant qui passe dans chaque communauté une fois par semaine pour des séances en plein air. Ils y projètent tant des films documentaires que des films commerciaux (qui malgré nous _ il faut dire qu’ils n’existeraient pas si nous n’allions pas les voir_  font partie de notre culture commune internationale).

Là-bas, j’y ai rencontré des anthropologues qui viennent régulièrement depuis 1967 aux abords du fleuve Ucayali, qui réalisent aussi des documentaires. Seulement, ces réalisations restent peu visibles car autoproduites ou dont les visées ne sont pas une diffusion de masse mais spécifique. La question que soulevait Julien sur les modes d’édition des CEMEA, s’ouvrent alors à tous ceux qui travaillent et oeuvrent en direction de l’Education Populaire. Par exemple, il a fallu que j’aille au Forum Social international de Bruxelles en 2001 pour me procurer un film sur le conflit entre la Palestine et l’Israël.
Il n’existe pas, à ma connaissance, de plate-forme de référence pour collecter ces outils-là, supports de la réflexion collective (projet de mettre en ligne, de centraliser des infos : contacts pour se les procurer, résumés et démarches des auteurs, etc.)

Notre place d’ «éducacteur», à mon sens, vient du fait que l’on ne peut plus se positionner comme adulte responsable si nous ne sommes pas en mesure d’agir à notre échelle et de réfléchir la transformation du monde actuel. C’est comme lorsque l’on parle d’atelier artistique, il est demandé à l’artiste d’être lui-même dans une démarche artistique, cela semble s’appliquer aussi et surtout à la citoyenneté, car avant d’être artiste, policier, politiciens, directeur de multinational, nous sommes citoyen du monde (dédicace to Socrate). Et cela va de paire avec la philosophie, l’art de vivre. Et parfois, je ne vois le progrès que comme une fuite en avant en marche arrière. Qu’est-ce que cela donnerait en image ? Un travelling avant compensé (lorsque que l’on dézoome en déplaçant la caméra vers l’avant) ? Car pour bénéficier de ces espaces de gratuité (le blog, les films via portables), nous achetons et consommons à grande échelle et favorisons donc certaines puissances médiatiques et forme de contrôle et d’aliénation.

OUAIP, j’ai fini pour aujourd’hui ma décharge critique (même si je n’ai pas encore tout écrit), peut-être manque-t-elle de culture. Alors, merci de rebondir, de me faire ouvrir les yeux vers d’autres visions. En attendant,  je vais lire les articles qui nous ont été distribué : «Qui contrôle les concepts», Le Monde diplomatique, «pour devenir une référence de la Toile, un label, le service public devrait développer les partenariats avec les milieux scientifiques et éducatifs», Télérama, «l’impuissance de l’école face à l’explosion des blogs», ?, «La Télé pour les bébés de plus en plus critiquée», Le figaro, journaux sortis entre le 8 et 12 mai 2008.

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Commentaires
C
Les CEMEA pro de la "bavardise" et du "débat monologique à en perdre haleine"...certes...??? mais n'es tu pas toi même en train de nourrir cette "bavardise" que tu semble tant regretter...
C
Pour répondre à Laurent :<br /> <br /> Un éducacteur est un édu caqueteur du verbe caqueter, ma flémardise pour taper quelques lettres en plus est la cause du diminutif : educacteur. Mais il est vrai que j'aurai pu aussi écrire édu-acteur. Quel cinéma?<br /> <br /> Pour répondre à David : <br /> <br /> Comme tes changements ne sont pas signalés, je ne vois pas où tu les as changés, mais ce doit être dans le bon sens...Merci.
D
Je me suis permis de corriger quelques coquilles pour rendre ta libre expression plus agréable à lire ... Tu peux jeter un oeil et me dire si ça te convient.<br /> Je réagirai plus tard sur le fond.
L
Je voulais juste savoir si un "éducacteur" signifait "éducateur barbu" ? Voilà<br /> A bientôt
C
Pour voir, je poste un commentaire sur mon message afin que mon commentaire apparaisse sur le côté droit "Derniers commentaires" afin que vous soyez tous au courant que je viens de déposer un nouveau message dans le stage au jour le jour...<br /> <br /> TITRE : Le stage deux jours après...<br /> CONTENU : 6 pages de libre expression
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